Séminaire Entrepreneurs, towns and regions
                        |
                        mercredi 1 octobre 2003
                        
                                            
                    
                    
                                                    Lorsque la fermeture de l’usine de Billancourt est annoncée, en 1989, qui se doute qu’il faudra plus de dix ans pour aboutir à un projet capable de concilier les différents intérêts en présence ? Il n’est certes pas évident de satisfaire aux impératifs financiers de la ville et du constructeur tout en conservant au lieu sa mémoire et son originalité. Jusqu’en 1993, l’État tentera d’y parvenir, en vain, et finira par laisser Renault et la municipalité de Boulogne face à face. Mais la ville ne bénéficie pas d’une situation politique et financière favorable, et l’entreprise elle-même n’est plus pressée de vendre. Une période d’attente s’ouvre alors, jusqu’à l’annonce, en 2000, du projet de fondation Pinault. Preuve qu’il a joué le rôle d’un véritable catalyseur, un plan local d’urbanisme a été adopté par l’ensemble des acteurs au mois de juin dernier.
                                            
                    
                    
                                                                
                                            
                                                            
                                    Le compte rendu de cette séance a été rédigé par :
                                                                            Élisa RÉVAH
                                                                     
                            
                                                     
                        
                                                                                                            
                                
                                    
                                        
                                        
                                            
                                                Cette séance a été publiée dans le n°46 du Journal de l'École de Paris du management,
                    intitulé
                
                                                Aventures un peu folles.
                                            
                                         
                                     
                                 
                                                    
                                                
                                                
                                                	
                                                	
                                                
                                                 
        
Aucun commentaire