Séminaire Guest speakers
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                        lundi 25 mars 2002
                        
                                            
                    
                    
                                                    Constatant que la vie associative et, plus largement, l’économie sociale et solidaire, voient leur contribution à la richesse nationale systématiquement sous-estimée, voire ignorée par les indicateurs dominants comme le PIB, Guy Hascoët, secrétaire d’État à l’économie solidaire, a confié à Patrick Viveret une mission sur les nouveaux facteurs de richesse, dont il vient de publier le rapport. Mais comment espérer changer notre représentation de la richesse, qui est admise et intériorisée même par les plus ardents opposants à la pensée unique ? Une telle transformation peut-elle passer par de simples réformes, ou doit-elle prendre des formes plus radicales ? Et comment concevoir et surtout utiliser de nouveaux indicateurs qui, en prenant en compte des données quantitatives mais aussi qualitatives, conduisent nécessairement à additionner des choux et des carottes ?
                                            
                    
                    
                                                                
                                            
                                                            
                                    Le compte rendu de cette séance a été rédigé par :
                                                                            Élisabeth BOURGUINAT
                                                                     
                            
                                                     
                        
                                                                                                            
                                
                                    
                                        
                                        
                                            
                                                Cette séance a été publiée dans le n°37 du Journal de l'École de Paris du management,
                    intitulé
                
                                                Un monde de dingues !.
                                            
                                         
                                     
                                 
                                                    
                                                
                                                
                                                	
                                                	
                                                
                                                 
        
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