Pour réduire nos consommations, les idées d’interdictions fleurissent, avec deux risques : une aspiration irrépressible au retour à la normale une fois la crise passée et la rébellion de ceux qui n’ont pas d’alternatives. Dès lors, ne faudrait-il pas favoriser des évolutions consenties, comme le joyeux essor de la mobilité douce (vélos, trottinettes, covoiturage, etc.), la vogue de l’achat de vêtements d’occasion, les offres de réparation pour les objets ménagers, etc. ? Entre exercice de la contrainte et encouragement d’évolutions vertueuses, quel équilibre trouver ?
Plus de détails sur la séance : La sobriété, contrainte temporaire ou futur désirable ?