Séminaire Guest speakers
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                        lundi 8 octobre 2001
                        
                                            
                    
                    
                                                    La finance moderne, comme la météorologie, a mis au point des méthodes scientifiques de prévision et d’action : elle prétend lire dans les évolutions passées des cours de Bourse le futur des marchés. Les cyclones financiers ne seraient pas plus imprévisibles pour des spécialistes qu’un coup de vent pour un météorologue. Mais existe-t-il une météorologie financière ? Sur quelles données s’appuient les analystes ? Ces données sont-elles vraiment “fondamentales” ? Ces questions appellent un débat. Pierre-Noël Giraud soutient que les crises financières sont imprévisibles et inévitables. Christian de Boissieu s’interroge : si l’on ne peut pas prévoir l’orage, ne peut-on pas au moins le sentir venir ? Enfin, l’analyste Alain Bokobza défend le travail des praticiens, et appelle à dépasser le simple bulletin météo pour s’intéresser de près aux cartes satellites et analyses qui les accompagnent.
                                            
                    
                    
                                                                
                                            
                                                            
                                    Le compte rendu de cette séance a été rédigé par :
                                                                            Corentin CURCHOD
                                                                     
                            
                                                     
                        
                                                                                                            
                                
                                    
                                        
                                        
                                            
                                                Cette séance a été publiée dans le n°35 du Journal de l'École de Paris du management,
                    intitulé
                
                                                L'ordre.
                                            
                                         
                                     
                                 
                                                    
                                                
                                                
                                                	
                                                	
                                                
                                                 
        
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