Séminaire Social life
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                        jeudi 16 mai 2002
                        
                                            
                    
                    
                                                    Créée en 1997, dans le contexte de la grave crise économique de la région Nord–Pas-de-Calais, la Caisse Solidaire est un établissement de crédit coopératif régi par la loi bancaire, dont le fonctionnement offre quelques singularités : les épargnants acceptent des taux d’intérêt compris entre 0 et 2 % ; la plupart des emprunteurs sont des exclus du crédit bancaire, qu’il s’agisse de très petites entreprises en création ou encore d’associations ; d’autres entreprises, labellisées par le comité éthique de la Caisse, acceptent, dans un esprit de solidarité, des taux de crédit plus élevés que ceux du marché. La Caisse Solidaire est aujourd’hui à la croisée des chemins : réussira-t-elle, sans renier ses objectifs de départ, à atteindre l’équilibre financier ? Ne doit-elle pas pousser plus loin ses ambitions et constituer l’un des fers de lance de l’économie solidaire ?
                                            
                    
                    
                                                                
                                            
                                                            
                                    Le compte rendu de cette séance a été rédigé par :
                                                                            Élisabeth BOURGUINAT
                                                                     
                            
                                                     
                        
                                                                                                            
                                
                                    
                                        
                                        
                                            
                                                Cette séance a été publiée dans le n°40 du Journal de l'École de Paris du management,
                    intitulé
                
                                                Le réveil des profanes .
                                            
                                         
                                     
                                 
                                                    
                                                
                                                
                                                	
                                                	
                                                
                                                 
        
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