Que deviendra Billancourt ?

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Jacques PERNELLE

Chargé de mission au conseil général des Ponts et Chaussées, Chargé de la programmation physique et financière de la mission Billancourt en 1992-1993


Michel de VIRVILLE

Secrétaire général et directeur général des ressources humaines de Renault

Séminaire Entrepreneurs, villes et territoires | mercredi 1 octobre 2003

Lorsque la fermeture de l’usine de Billancourt est annoncée, en 1989, qui se doute qu’il faudra plus de dix ans pour aboutir à un projet capable de concilier les différents intérêts en présence ? Il n’est certes pas évident de satisfaire aux impératifs financiers de la ville et du constructeur tout en conservant au lieu sa mémoire et son originalité. Jusqu’en 1993, l’État tentera d’y parvenir, en vain, et finira par laisser Renault et la municipalité de Boulogne face à face. Mais la ville ne bénéficie pas d’une situation politique et financière favorable, et l’entreprise elle-même n’est plus pressée de vendre. Une période d’attente s’ouvre alors, jusqu’à l’annonce, en 2000, du projet de fondation Pinault. Preuve qu’il a joué le rôle d’un véritable catalyseur, un plan local d’urbanisme a été adopté par l’ensemble des acteurs au mois de juin dernier.

Le compte rendu de cette séance a été rédigé par :

Élisa RÉVAH

Cette séance a été publiée dans le n°46 du Journal de l'École de Paris du management, intitulé Aventures un peu folles.

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