Les grandes entreprises et la base de la pyramide, les promesses à l'épreuve des faits

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Laurent GUÉRIN

Ingénieur des Mines


Yves LE YAOUANQ

Ingénieur des Mines

Séminaire Économie et sens | jeudi 12 janvier 2012 - 9h - 11h30

Alors que la pauvreté dans les pays en développement semble résister à tout traitement, le début des années 2000 a vu naître deux concepts, le social business et le BOP (Base Of the Pyramid), porteurs d’un message simple et optimiste : sous certaines conditions, les entreprises, et en particulier les multinationales, peuvent faire accéder les milliards d’individus les plus pauvres de la planète aux biens et services essentiels en se basant sur des relations purement marchandes. La photographie actuelle du mouvement révèle à présent une situation paradoxale : alors que ces concepts rencontrent un succès croissant, la majorité des projets semble stagner et remettre en cause les promesses initiales. Trois ingénieurs des Mines ont analysé, dans le cadre de leur mémoire de troisième année, les projets pilotes de Danone, Veolia Environnement, Lafarge, Schneider Electric et Essilor, et dressent un premier bilan des initiatives des grands groupes. Ces derniers sont-ils armés pour devenir des acteurs crédibles du développement ?

Le compte rendu de cette séance a été rédigé par :

Élisabeth BOURGUINAT

Cette séance a été publiée dans le n°97 du Journal de l'École de Paris du management, intitulé Périlleuses quêtes de nouveaux mondes.

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